Rendez-vous avait été pris avec Sophie et Claude pour qu'ils nous emmènent à la gare. C'est Claude qui ne connaît pas trop la gare et les réveils matinaux que nous avons réveillé pour 6h45 un samedi ! Une honte. Philippe était à son habitude comme pour cahque voyage légèrement tendu. De 7h25 à 10h30 : TGV. Arrivés à Paris, transfert pour Orly via le RER A puis le B et Orlyval : 45 min avec nos gros sacs mais pas trop de monde. A Orly, à midi, nous avons pu enregistrer et il nous restait 4 heures à perdre dans l'aérogare. L'avion a décollé avec une demi heure de retard pour 11h de vol. Donc, le trajet nous aura pris 24 heures. Ca se mérite les vacances.
Dimanche 5 avril
Ambiance ... ambiance. Dès notre arrivée, le temps nous a surpris pas dans le sens où on l'entendait. Ca faisait des semaines qu'on rêvait de soleil et de chaleur. Heureusement, en partant vers le sud-ouest, le ciel s'est asséché.
Là aussi, on a fait lever Sylvie et Jean-Louis, le seul jour de congé au aurores, l'avion arrivant à 5h45. Le temps de visiter la maison de Jean-Louis et Sylvie, de refaire nos sacs et nous voilà partis direction le cirque de Cilaos.
Vers Etang salé, une première petite pause pour regarder un souffleur. Il y avait une bonne houle.
Après les 400 virages d'une route hors du commun, Cilaos s'étale sur plusieurs hameaux. Dimanche, jour de marché, nous a permis de commencer à découvrir les produits de la région.
Premier restaurant avec au menu : carry de toutes sortes pour goûter à tout (cabri massalé, poisson). Le gratin de chouchou sera pour une autre fois. Puis Sylvie et Jean-Louis nous ont amené jusqu'à notre gite : le petit bout du monde qui porte son nom à ravir. 7 kms d'une route atypique (épingles à cheveux dantesques tant elles étaient ressérées et courtes, traversées de radiers, aplombs vertigineux)
Le petit bout du monde à Ilet à cordes. Là-bas, tout ce qui regroupe quelques maisons s'appelle : ilet, autrement dit hameau. Prononcer : ilette.
Petit coup de déprime en entendant la pluie, et encore et encore.
Le menu du soir préparé par la logeuse, plat unique : carry poulet. Il y avait à manger pour quatre.
Un carry est composé de riz, de graines (lentilles, pois du Cap) et viande en sauce accomodée dans des épices à base de curry. A Cilaos, bien évidemment, les graines sont des lentilles de Cilaos cultivées principalement à Ilet à Cordes dans des champs dépierrés à la main, minuscules et très ... vallonnés.
Lundi 6 avril
Ilet à Cordes et ses champs de lentilles avec Cilaos au fond de l'autre côté du cirque.
De l'eau, de l'eau et encore de l'eau. Quelque face dans quelque cirque qui soit est constellée de chutes qui peuvent apparaître un jour et disparaître le lendemain. Ce jour-ci, elles étaient toutes de sortie. Un accueil grandiose pour des zoreilles tous frais arrivés de leur métropole.
Cabane dans la montée du col du Taïbit où d'habitude on sert des tisanes. Là, personne, désertée. En bref, un temps à ne pas mettre un chat dehors, juste deux Vizillois givrés. D'ailleurs, les quelques personnes rencontrées faisaient toutes le chemin dans l'autre sens.
Le chemin n'existe plus. Il est remplacé par un torrent. Nous voici à Marla, petit hameau perdu à trois heures de toute route goudronnée, accessible à pied ou en hélicoptère. Là, c'est un choix difficile qui nous attend car les nouvelles de La Nouvelle ne sont pas bonnes. Deux réunionnais pur souche à qui nous avons demandé le chemin de La Nouvelle nous ont dit : "ça ne passe pas. La première ravine, il y a la passerelle mais pas les autres. On ne vient pas à Mafate quand il pleut."
De l'eau, de l'eau et encore de l'eau. Quelque face dans quelque cirque qui soit est constellée de chutes qui peuvent apparaître un jour et disparaître le lendemain. Ce jour-ci, elles étaient toutes de sortie. Un accueil grandiose pour des zoreilles tous frais arrivés de leur métropole.
La journée n'avait pas très bien commencée. Le nuit avait été un peu agitée tant la pluie était tombée engendrant cauchemards à propos des jours à suivre. En plus, le bus qui devait nous déposer en bas du sentier nous est passé devant en nous faisant signe qu'il allait faire demi-tour, temps pendant lequel nous nous sommes abrités sous un auvent tant il tombait d'eau, puis nous est repassé devant sans s'arrêter.
Heureusement,les gens là-bas sont d'une amabilité dont on pourrait prendre exemple. La logeuse ayant quelques soucis d'école avec ses enfants, les enseignants n'ayant pu arriver à cause des mauvaises conditions météo, a pourtant trouver un moment pour nous emmener jusqu'au départ du sentier: ouf, 5 kms de bitume économisés.
Equipement adhoc pour randonnée pluvieuse sous les tropiques : tee-shirt, veste légère, pantalon de montagne et poncho.
Equipement adhoc pour randonnée pluvieuse sous les tropiques : tee-shirt, veste légère, pantalon de montagne et poncho.
Cabane dans la montée du col du Taïbit où d'habitude on sert des tisanes. Là, personne, désertée. En bref, un temps à ne pas mettre un chat dehors, juste deux Vizillois givrés. D'ailleurs, les quelques personnes rencontrées faisaient toutes le chemin dans l'autre sens.
Voici les trois Salazes, jolies petites sentinelles perchées entre le cirque de Salazies et de Mafate. Nous étions sensés aller au pied. Malheureusement, pour se faire, il fallait enprunter une sente le long d'une ravine. Or, ce jour-là, les ravines étaient toutes empruntées par des torrents d'eau. En plus, notre objectif premier était devenu : atteindre La Nouvelle.
Descente sur le cirque de Mafate avec Marla au fond. Les sentiers sont pleins de marches, parfois hautes qui font bien mal aux genoux à la descente. Ca ne ressemble pas du tout à nos sentiers alpins. Tiens, un chameau bleu : nouveau costume folklorique de Pâques 2009.
Descente sur le cirque de Mafate avec Marla au fond. Les sentiers sont pleins de marches, parfois hautes qui font bien mal aux genoux à la descente. Ca ne ressemble pas du tout à nos sentiers alpins. Tiens, un chameau bleu : nouveau costume folklorique de Pâques 2009.
Le chemin n'existe plus. Il est remplacé par un torrent. Nous voici à Marla, petit hameau perdu à trois heures de toute route goudronnée, accessible à pied ou en hélicoptère. Là, c'est un choix difficile qui nous attend car les nouvelles de La Nouvelle ne sont pas bonnes. Deux réunionnais pur souche à qui nous avons demandé le chemin de La Nouvelle nous ont dit : "ça ne passe pas. La première ravine, il y a la passerelle mais pas les autres. On ne vient pas à Mafate quand il pleut."
Que faire donc ? Forcer le passage malgré tout ? On ne connaît pas assez le pays. Rester à Marla et se trouver un gite ? Oui, mais si le temps ne s'améliore pas ? Rester coincés ici ? De toute manière, notre circuit est dans les choux. Terminé. Dès le premier jour, on est hors délai. Dernière solution, retourner à Cilaos et attendre pour voir l'évolution. Mais qu'est-ce que c'est que ce cyclone coincé entre La Réunion et Madagascar qui traine plus de 500 kms de nuages derrière lui, au mois d'avril !
L'hôtel que Jean-Louis et Sylvie nous avait réservé pour nous remettre de nos 4 jours de périple ayant de la place pour le soir, nous avons donc rebroussé chemin, repassé le col du Taïbit, et sommes redescendus sur Cilaos.
Vue depuis le col du Taïbit sur le cirque de Mafate avec au fond à gauche notre but : La Nouvelle et au milieu les différentes chutes qui nous ont empêchés de l'atteindre.
Arrivés sur la route à l'heure d'un passage de bus, nous ne l'avons jamais vu. Comme il pleuvait fort, nous avons continué notre chemin : 5 kms jusqu'à Cilaos avec comme spectacle des chutes d'eau de partout et des ... pierres.
Arrivés sur la route à l'heure d'un passage de bus, nous ne l'avons jamais vu. Comme il pleuvait fort, nous avons continué notre chemin : 5 kms jusqu'à Cilaos avec comme spectacle des chutes d'eau de partout et des ... pierres.
Enormes fleurs d'hibiscus en remontant sous Cilaos.
Comme promis au téléphone, nous étions à l'hôtel entre 17h et 18h à la tombée du jour. A notre arrivée, la standardiste nous a demandé : "C'est vous qui arrivez du col du Taïbit ?". Le moins qu'on puisse dire est que ça se voyait.On avait honte de laisser une flaque à chaque pas sur leur beau parquet. On saluait vaguement un groupe de persones dans la salle de séjour avant de se faire accompagner directement à notre chambre pour nous défaire sur le palier et sur le balcon.
Après l'effort ... le réconfort. Deux loques dans une baignoire à jets : c'était plus que bienvenu. Merci Jean-Louis et Sylvie pour cette attention si bien appropriée. Chambre de star au Tsilaosa. On y a envahi le lit avec les cartes et guides afin de décider du changement d'orientation de notre périple. Si le temps le permet le lendemain, on tente le refuge du piton des neiges.
Comme promis au téléphone, nous étions à l'hôtel entre 17h et 18h à la tombée du jour. A notre arrivée, la standardiste nous a demandé : "C'est vous qui arrivez du col du Taïbit ?". Le moins qu'on puisse dire est que ça se voyait.On avait honte de laisser une flaque à chaque pas sur leur beau parquet. On saluait vaguement un groupe de persones dans la salle de séjour avant de se faire accompagner directement à notre chambre pour nous défaire sur le palier et sur le balcon.
Après l'effort ... le réconfort. Deux loques dans une baignoire à jets : c'était plus que bienvenu. Merci Jean-Louis et Sylvie pour cette attention si bien appropriée. Chambre de star au Tsilaosa. On y a envahi le lit avec les cartes et guides afin de décider du changement d'orientation de notre périple. Si le temps le permet le lendemain, on tente le refuge du piton des neiges.
Cheminée de la salle de séjour de l'hôtel faite à partie d'une ancienne cuve d'usine à canne à sucre.
Cuisine et desserte du petit déjeuner avec miel dans les rayons.
Vue sur le grand Bénare.
Le piton des neiges est dégagé. On fonce. La réceptionniste ayant tellement eu pitié de nous, elle a lâché son bureau pour nous emmener en voiture jusqu'au bloc, départ du sentier du piton des neiges situés à 3 kms dans le forêt au-dessu de Cilaos.
Le bloc : départ du sentier dans une forêt de cryptomérias.
Début de la montée au refuge : vue imprenable sur Cilaos et le cirque.
Le piton des neiges est dégagé. On fonce. La réceptionniste ayant tellement eu pitié de nous, elle a lâché son bureau pour nous emmener en voiture jusqu'au bloc, départ du sentier du piton des neiges situés à 3 kms dans le forêt au-dessu de Cilaos.
Le bloc : départ du sentier dans une forêt de cryptomérias.
Début de la montée au refuge : vue imprenable sur Cilaos et le cirque.
Quelques restes des précipations de la veille avec un sentier inondé et des marches, encore des marches, toujours de marches.
Végétation typique à cette altitude : petits arbres aux troncs tortueux (1500 à 2000m)
Végétation typique à cette altitude : petits arbres aux troncs tortueux (1500 à 2000m)
Arrivée au refuge un peu dans les nuages qui balayaient le plateau.
Chemin de petit poucet pour atteindre le sommet. Des traces blanches tous les 5m au milieu d'énormes blocs.
Le temps n'étant pas trop horrible, quelques bancs de brouillard qui allaient et venaient, nous avons pris la décision de tenter tout de suite le sommet du piton des neiges après s'être assuré qu'il y avait de la place au refuge puisque notre réservation avait été faite pour le lendemain. Nous avons déposé nos gros sacs et sommes montés légers. Après 1200m de dénivelé, il n'en restait plus que 600.
Le temps n'étant pas trop horrible, quelques bancs de brouillard qui allaient et venaient, nous avons pris la décision de tenter tout de suite le sommet du piton des neiges après s'être assuré qu'il y avait de la place au refuge puisque notre réservation avait été faite pour le lendemain. Nous avons déposé nos gros sacs et sommes montés légers. Après 1200m de dénivelé, il n'en restait plus que 600.
Vue sur la partie est du cirque de Cilaos depuis le sommet du piton des neiges (3070m)
Vue sur la partie ouest du cirque vers le cirque de Mafate (col du taïbit, les 3 Salazes, le grand morne)
Chemin sommital et sommet lunaires.
Vue sur le Tampon et Cilaos
Ilet à Cordes ou le bout du monde.
Le refuge : imposant.
Le refuge : imposant.
Enfin les premiers rayons de soleil sur la terrasse. Un dortoir et un refuge de 40 places pour 5. En effet, les personnes qui nous avaient aperçus la veille au soir à l'hôtel nous ont rejoints et ont passés la soirée et la nuit avec nous. Ils ont fait le sommet le lendemain au lever du soleil.
Mercredi 8 avril
Juste avant notre départ du refuge, un hélicoptère est venu se poser pour dépanner le téléphone. On a discuté un moment avec le pilote qui était originaire de l'ariège et qui nous a dit : "ça fait plaisir de voir des gens bien équipés."
L'hélicoptère qui tourne en permanence et d'autant plus lors du grand raid.
L'hélicoptère qui tourne en permanence et d'autant plus lors du grand raid.
Un aperçu de la première partie du sentier entre le refuge et la caverne Mussard : des pierres et encore des pierres. Impossible de se reposer les yeux.
A la caverne Mussard, vue sur Hell-Bourg que l'on peut rejoindre directement par un chemin bien escarpé apparemment.
Après la caverne Mussard et en allant surr la forêt de Bélouve, le chemin devient une véritable horreur : un tracé dans la forêt en montagnes russes et un terrain ravagé par l'eau.
Quelques échelles qui ne sont pas vraiment indispensables et des caillebotis vraiment indispensables quand ils ne sont pas défoncés pour traverser des zones marécageuses.
Les fougères arborescentes de la forêt primaire. Le chemin défoncé qu'il faut emprunter en passant sur les côtés avec une progression d'une lenteur désespérante : parfois 20s pour faire 1m en s'accrochant à la végétation des côtés.
Les fougères arborescentes de la forêt primaire. Le chemin défoncé qu'il faut emprunter en passant sur les côtés avec une progression d'une lenteur désespérante : parfois 20s pour faire 1m en s'accrochant à la végétation des côtés.
Hell-Bourg vue depuis la forêt de Bélouve.
Un arbre d'une forme bien particulière.
Des arums et des fushias.
Le gite de Bélouve : un endroit buccolique avec une herbe bien verte, des plantes magnifiques. Tout respire la sérénité.
Des arums et des fushias.
Le gite de Bélouve : un endroit buccolique avec une herbe bien verte, des plantes magnifiques. Tout respire la sérénité.
Petite pause d'une demi-heure après 4h de marche fort pénible. Les pieds de Philippe s'en souviendront. Ensuite, nous avons cachés les gros sacs dans une haie de manière à faire l'aller-retour à Trou de fer légers.
Petite vasque, fougères arborescentes et tamarins sur le sentier.
Le trou de fer : abîme presque sans fond et très étroit.
Nous avons fait l'aller par une route forestière tranquille et le retour pour changer par un sentier que les sangliers auraient adorés. Son débouché n'est absolument pas significatif de la boue dont il est composé.
Descente sur Hell-Bourg sous la pluie par un joli chemin bien escarpé avec queques pensionnaires inoffensives mais de belle taille.
Le trou de fer : abîme presque sans fond et très étroit.
Nous avons fait l'aller par une route forestière tranquille et le retour pour changer par un sentier que les sangliers auraient adorés. Son débouché n'est absolument pas significatif de la boue dont il est composé.
Descente sur Hell-Bourg sous la pluie par un joli chemin bien escarpé avec queques pensionnaires inoffensives mais de belle taille.
L'arrivée sur Hell-Bourg se fait dans une végétation luxuriante. C'est apparemment le cirque le plus arrosé et tout pousse à foison. Un spécimen de bambous gigantesques.
Des fleurs de cana (?) et derrière des liserons pourpres.
Des fleurs de cana (?) et derrière des liserons pourpres.
Case créole à Hell-Bourg.
Le gite.
Jeudi 9 avril
Après deux jours d'acalmie, la pluie a repris incessante. Cette fois-ci, nous n'insistons pas. La Nouvelle et Mafate que nous avions projeté d'atteindre par le col des boeufs après avoir emprunté deux bus sera à faire lors d'un autre voyage. Ce fut très frustrant à Salazie de voir partir le bus pour Le Bélier sans nous et d'être obligés de redescendre sur St André.
Départ au petit matin pour attraper notre bus dans notre tenue préférée : le poncho !
Jardin d'une vieille case créole : la maison Folio.
Centre ville de Hell-bourg.
Cascades et chutes à perte de vue. La descente sur St André en bus nous permis d'admirer un bon nombre de cascades dont le voile de la mariée et d'autres qui traversaient ou tombaient sur la route même. A St André, c'était l'inondation totale dans les rues. Les cours d'eau étaient fous et prenaient par endroit des virages relevés.
Jardin d'une vieille case créole : la maison Folio.
Centre ville de Hell-bourg.
La poste et l'office du tourisme.
Cascades et chutes à perte de vue. La descente sur St André en bus nous permis d'admirer un bon nombre de cascades dont le voile de la mariée et d'autres qui traversaient ou tombaient sur la route même. A St André, c'était l'inondation totale dans les rues. Les cours d'eau étaient fous et prenaient par endroit des virages relevés.
Journal avec les photos de la veille à St André. Ce n'était pas du chiqué.
La coulée de 2007 qui fume encore.
La plaine des sables et le début de la piste.
La plaine des sables : paysage lunaire.
Descente dans l'enclos avec le Formica Léo.
Premiers pas dans l'enclos.
La traversée de l'enclos sur la lave cordée.
Descente dans l'enclos avec le Formica Léo.
Premiers pas dans l'enclos.
La traversée de l'enclos sur la lave cordée.
Au pied du piton de la fournaise, au centre de l'enclos, la cathédrale.
Montée sur la lave.
La cratère Bory et l'enclos vu du sommet du volcan.
Depuis le bord du cratère Bory, vue sur le cratère Dolomieu, immense entonoir.
La cratère Bory et l'enclos vu du sommet du volcan.
Depuis le bord du cratère Bory, vue sur le cratère Dolomieu, immense entonoir.
Le fond du cratère qui s'est effondré en 2007.
Journée détente pour les vacanciers comme pour les pharmaciens.
Kiosque sur la route du Maïdo. Vue imprenable sur le lagon de St Gilles.
Dernière baignade sous le soleil de la Réunion.
Jeudi 16 avril
Quatre heures à perdre à Paris. On pose nos sacs à la consigne de la gare de Lyon et on file dans le marais.
Jardin à la française (métropole) dans la cour du musée Carnavalet.
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